Gérald Wittock est un auteur-compositeur belge né à Rome en 1966. Il voyage et emménage tour à tour dans sept grandes villes du globe, de Paris à New-York. En ressortira une première nouvelle, « La Vie ne dure que 7 Villes ».
Puis suivront trois autres nouvelles : « Antipodes », « La Mutation » et « Le Diable est une Femme ». Diplômé HEC à Bruxelles (ICHEC), il démissionne de son poste de cadre dans une multinationale, crée sa maison d’édition et de production audiovisuelle et signe le disque d’or Make Luv. Descendant direct de Lucien Bonaparte et fils du bibliophile et fondateur de la Wittockiana, le musée des arts du livre et de la reliure, il en est l'administrateur. Père de cinq enfants, il leur raconte, entre chien et loup, des histoires qu’il invente.
Il s’installe à Marseille par amour (voir la nouvelle autobiographique « La Vie ne dure que 7 Villes ») et se consacre à l’écriture. Il publie aux éditions Vérone ses quatre nouvelles, compilées dans un recueil, « Le Diable est une Femme ». Il signe le premier pop roman « 1m976 » auprès de l’éditeur Patrick Coulomb chez The Melmac Cat, dans la collection ailleurs(s).
Ce que la presse en dit :
France 3 :
Marie Blanche Cordou a eu « un coup de foudre pour le pop roman 1m976 ». Vous êtes formidables, émission présentée par Éric Charay
La Marseillaise :
En cette ère du copier-coller, du photocopiage (pour ne pas dire photocopillage), il est bon de retrouver l'originalité des écrivains qui savent se distinguer d'une manière singulière. Montez dans l'ascenseur de Wittock. À chaque étage, un liftier, habillé comme Spirou (le groom belge de Jean Dupuis), vous ouvrira la porte et vous invitera à découvrir un nouvel univers. Où le rêve et la réalité se confondent pour le seul rock'n'roll plaisir de nous faire perdre la boussole.
(Anne-Marie Mitchell)
Entreprendre : Stéphanie Janicot
C’est au lecteur de décider du sens du livre. En lisant la fin de votre roman, Gérald, j’ai pensé que votre personnage avait vraiment cet âge adulte, et qu’il n’était pas sorti de chez lui pendant 40 ans. (...) Je trouvais ça assez joli.
(Propos recueillis par Marc Alpozzo)
Sun burns out :
1m976 avait tout du roman foireux mais… pas du tout : ce livre de 200 pages et quelques se dévore avec passion, s’écoute aussi (un peu) et affiche un niveau de fantaisie qu’on avait pas croisé depuis la mort de feu Kurt Vonnegut Jr (c’était en 2007) et la retraite du non moins génial Jim Dodge.
(Benjamin Berton)
Chroniques de pourpre :
J’ai peur d’effrayer le lecteur, je le rassure tout de suite, aucun temps mort, l’action n’est jamais linéaire, elle comporte de nombreux hauts et de multiples bas. Gérald Wittock est un homme de son temps. Si dans Racine et Corneille, Néron et Chimène entrent et sortent stupidement comme tout un chacun par une porte, le roman est pourvu d’un ascenseur. Qui monte et qui descend. Sans jamais faillir.
(Damie Chad)
Argoul :
Le réel et le trip s’emmêlent comme les pattes de la Panthère rose. L’ascenseur est la clé qui le fait basculer d’un monde à l’autre.
(…) Pop manga, il y a de l’action et des images.
Il publie dans la collection « Esprit Noir », toujours chez Melmac, la pop nouvelle « Meurtre à Morgiou », au sein du collectif « Le cercle des polardeux marseillais » (saison 2). « Le Dernier Roi », son troisième roman, paraîtra en 2025.