Par temps de rêves, et par temps de pluie, n’est-il pas plus sérieux de regarder au profond de l’être ! La symbiose qui s’en ressent, et la diligence des ressentis, nous mènent loin devant les planches théâtrales de la vie courante. Ce qui nous effraie, c’est l’amertume et l’âpreté des songes autour de notre spiritualité ! Certes, ceci étant, nous nous entraînons dans les mouvances sociologiques et écologiques, ethnologiques. La certitude de croire en nos convictions les plus nobles et les arrivistes à port ou à destination.
La narration en déclin
La chancelante bougie brûlée par les deux bouts, et le cigare en guise de fin. C’est ce qu’on appelle la nonchalante vie de bohême parisienne avec un tatouage bien cinglant, celui du trèfle à quatre feuilles, signe d’opulence et d’abondance d’après les mythes et dictons de bonne fortune. Ils s’appellent les anges gardiens de la tour d’ivoire, avec le maître à l’intérieur, celui qui manipule et tire les ficelles de ce cinéma de fictions et de comédies. Le simulacre d’une vie bien rempilée et de surcroit divine. Ceci explique cela, mais encore faudrait-il pas voir plus loin encore, la multitude de faits et de faux semblants, nous amènent plus près du centre des préoccupations ! La vacillante situation n’élude pas le cœur des problèmes.
Pour ne dire impossible n’est pas vrai, c’est voir même le fond du problème ! Ce qui en découle et ce qui en est fromenté.
Cela n’inspire jamais l’écrivain, ou le poète ! Les précurseurs voient le bout du monde dans la lorgnette ! Ne soyons pas négligeant et critique de toutes parts, il faut admettre ses torts ! La lapidation et la lobotomie !
L’extrême violence, et la renonciation du monde et l’engloutissement d’une apogée. Fébrile et fétial ! L’enrichissement personnel et de groupe, la mauvaise foi, et les conjonctures nous font trembler d’avance dans le marasme quotidien. La seule certitude est de remonter la pente dans ce préambule malsain. L’équinoxe d’un soir et le crépuscule lunaire dans le rétroviseur d’une voiture jaguar. Certes ! L’indiscrétion, et la virulente inquisition du spectre colonialiste.
La rationalisation des denrées premières, et la privatisation des usines et centrales nucléaires, l’acheminement des vaccins sur le territoire et le pays en friche, l’économie souterraine florissante, et le libre arbitre entre les nations et continents par voie transitoire ! Le méandre inéluctable des tragédies romaines et au Panthéon ou aux invalides, les combattants de la cause perdue !
L’obscurantisme mondialiste
La vis se tourna dans l’escarcelle d’un bourgeois de province et la promiscuité naquit en haute sphère indéniable ! Le paroxysme, et l’incarnation du bien et du mal. L’ultime dédicace de l’écrivain ou de l’artiste ! La gloire et le succès de librairies ! Et le savoir faire des journalistes spécialisés. Vaincre ses peurs et gravir une montagne de concepts.
L’extinction des lampadaires de nuit et du matin, après la rosée matinale. L’incandescence des songes ! Le tamis ! Nous y sommes dans l’arborescence d’une vie de déboires et de peines perdues. La multiplication des sphères en tous genres et gentes.
Ceci forme une sclérose en plaque et une vérole libidinale. La circulaire d’information circule déjà en boucle sur les ondes radiophoniques et télévisuelles, ainsi que relayait par les médias sociaux, et journaux. La mort d’une famille dans un accident de la route, et l’arrivée des secours sur place. C’est l’énoncé et l’intitulé du jour.
La seule et unique cause, c’était la vitesse ! Deux morts et trois blessés graves, la panoplie du brancardier et des pompiers, et du SMUR. Une raison de mourir peinte au vitriole, et la dénégation des occupants accidentés de la route ! Dans un lapsus concordant et une vérité des plus sauvages, comme lacéré à coup de cutter. Et la bénédiction du seigneur dans ce moment solennel et divin.