Le dolmen de Lancy dans l’Yonne, les menhirs de Carnac en Bretagne, les cromlechs de Stonehenge en Angleterre et celui des Almendres au Portugal, sont des exemples de mégalithes qui existent pour la plupart depuis plusieurs millénaires. On les retrouve en outre, partout sur le globe ! Mais leurs origines semblent bien venir d’Europe et plus particulièrement du Portugal, d’Andalousie, de France, d’Angleterre et probablement du Danemark. Les premiers Mégalithes dateraient d’une période comprise entre 4700 et 3000 avant Jésus-Christ. Cette datation ferait d’eux les plus vieux témoins de l’histoire du monde. Car ces pierres ont bel et bien traversé le temps avec succès et se dressent encore aujourd’hui fièrement, dans nos campagnes. Les chercheurs et les archéologues avancent de nombreuses thèses sur leurs rôles et leurs raisons d’être. Ces sites servaient vraisemblablement de lieux cérémoniels ou encore de lieux de rassemblement pour y célébrer des évènements du calendrier lunaire et solaire. Ils possédaient sans nul doute un but social, culturel, religieux et même parfois funéraire. Toutefois, des études récentes ont prouvé que leurs implantations n’étaient pas le fruit du hasard…
J’aime comparer les menhirs à des aiguilles acupuncture. En effet, quelle belle métaphore que ces pierres dressées qui guérissent et harmonisent notre planète Terre. À l’image de la médecine chinoise, qui considère que le corps humain est traversé par de nombreux canaux subtils et énergétiques, la Terre elle aussi possède ses propres courants telluriques. Mais la présence de ces mégalithes nous force à admettre que nos ancêtres connaissaient déjà ces énergies invisibles qui parcourent le sous-sol terrestre et depuis très très longtemps ! Les secrets qui entourent ces lieux pour le moins atypiques étaient transmis par le biais de rares initiations. Mais les sourciers et autres pratiquants en énergétique ont toutefois constaté depuis longtemps déjà, que ces pierres marquaient non seulement l’emplacement de veines d’eau, mais également de lignes d’énergies. Et c’est donc en toute logique que ces réseaux cosmo-telluriques ont été utilisés par toutes les plus grandes civilisations. En effet, les menhirs et autres mégalithes, les pyramides d’Égypte, le site du Machu Picchu ou de Delphes, les églises, les cathédrales et encore de très nombreux sites et monuments célèbres, ont tous été érigés sur ces lignes d’énergie. Il existe principalement 3 réseaux : le réseau Hartmann, curry et le réseau sacré. Ils quadrillent l’ensemble de la surface terrestre en permettant à l’énergie de circuler d’un point à l’autre du globe. Ceux-ci se croisent et génèrent parfois des vibrations particulièrement élevées.
Ces lignes forment donc un système complexe de forces subtiles qui parcourent toute la surface de la Terre. La présence même des mégalithes est la preuve actuelle que nos aïeux savaient détecter et mettre en œuvre le positionnement de ces pierres. Ils ont bel et bien planté en leur temps, les aiguilles d’acupuncture de la terre, et ce, afin de réguler et d'harmoniser les énergies ou d’augmenter le taux vibratoire de ces sites. Ces connaissances existent depuis des temps immémoriaux et les Égyptiens utilisaient déjà des pendules de « Toth » et ceux-ci ont d’ailleurs été retrouvés dans des sarcophages. Les pendules sont des outils précieux et permettent précisément de travailler avec ces énergies subtiles ! Les baguettes de cuivre (dites de sourcier) marchent aussi à merveille et réagissent d’une part, à tous ces différents réseaux, mais ont aussi l’avantage de fonctionner avec tout le monde et sans pré requis. J’ai personnellement déjà confié mes baguettes à un ami néophyte et cartésien, qui a été surpris de voir celles-ci bouger « toutes seules » ! De même, il existe l’antenne de Lecher ; cet outil plus récent, permet de diagnostiquer le niveau vibratoire d’un lieu, d’une personne, mais également de détecter les réseaux géobiologiques ainsi que les bioénergies. Enfin, le Feng Shui est utilisé depuis des centaines d’années en chine et aujourd’hui se sont les géobiologues et de rares initiés, qui détiennent le savoir de ces forces invisibles, qui se meuvent pourtant partout atour de nous.
Si chaque pierre et chaque site est différent, les mégalithes possèdent tous une « respiration » ! Ces fluctuations qui sont à l’image de l’inspire et de l’expire, s’accompagnent d’échanges entre la terre et le ciel. Le taux vibratoire du site varie d’ailleurs en même temps que ce souffle ininterrompu. Mais certains lieux vibrent plus fort et sont considérés comme de hauts lieux d’énergies. La basilique de Vézelay dans l’Yonne est considérée comme l’un d’eux ; c’est sans surprises que plusieurs lignes telluriques et un cours d’eau y ont été décelés et qu’un ancien dolmen se trouve encore enchâssé dans sa crypte. Mais la plupart de ces pierres sont encore cachées dans nos forêts, parfois oubliées et emmitouflées par des ronces et du lierre, attendant d’être redécouvertes ! Ces mégalithes permettent parfois de guérir les problèmes de peau, ou peuvent être bénéfiques pour la fécondité, quand d’autres augmentent le niveau vibratoire de ceux qui s’en approchent. Très couramment, des légendes et des guérisons extraordinaires accompagnent l'histoire très riche, mais souvent oubliée de ces sites et de leurs pierres. En outre, les cromlechs et d’autres sites plus complexes servaient vraisemblablement à des rituels druidiques, celtes et les sorciers de nos contrées ont certainement arpenté nos forêts pour se rendre sur ces lieux mystiques.
Aujourd’hui, les géobiologues proposent des sorties initiatiques un peu partout en France. Ils offrent un apprentissage qui permet de ressentir ces énergies invisibles qui sont toutefois marquées au fer, par la présence encore tenue de très nombreux mégalithes dans nos régions. Pour ma part, chaque ballade est l’occasion de me rendre sur un site où se trouve un menhir, un dolmen ou un cromlech. Il est si plaisant et excitant, d’allier le plaisir de se promener en pleine nature à la découverte d’un nouveau site. J’apprécie tout particulièrement de réaliser des exercices de Qi Gong à proximité d’une pierre dressée. Mais il est aussi possible de ressentir ses vibrations, en posant simplement ses mains à sa surface. Certains réalisent encore aujourd’hui des rituels magiques ou druidiques, dont le plus connu est celui qui a lieu à Stonehenge au solstice d’été.
Dénués de toutes les futilités du monde moderne, nos ancêtres étaient connectés à la nature et à ses énergies. Ils ont placé ces mégalithes, construit des pyramides, des temples en des points bien précis. Enfin, ils réalisaient des rituels qui participaient à augmenter le niveau vibratoire de la Terre. Tout ce savoir c’est évaporé en même temps que l’Homme s’éloignait de ses racines et de ses sensibilités dites aujourd’hui extra-sensorielles. Pour ma part, je préfère les nommer des capacités extra-égotiques… Pourtant, ces pierres dressées ont survécu. Malgré le temps, l’érosion et la modernisation, elles se cachent encore dans nos bois, dans nos champs et parfois sous une église. Mais elles nous appellent et susurrent à nos oreilles l’urgence de renouer avec nos origines ! Une fois de plus, l’Homme moderne redécouvre des forces invisibles que nos ancêtres maîtrisaient pourtant depuis la nuit des temps. Et ne serait-ce pas justement l’évolution de l’Homme elle-même qui l’aurait conduit à délaisser cette connexion et cette connaissance, au profit d’une carapace confortable, le coupant paradoxalement de ces sources d’énergie salvatrices ?