La décadente vie abimée de Bruno, chanteur de musique, ayant formé deux groupes, et une figure emblématique des scènes underground, avançant à grand pas dans les rues de Londres, se faisant distingué par la foule de jour comme de nuit.
Cet individu qui se compare à un oiseau rare qui nettoie son plumage, telle une colombe, l’artiste et le business man, qui a fait un choix d’art de vie, lui-même végétarien, et croyant en la purification de l’esprit qui englobe son corps charnel et spirituel. Cet athlète de la marche à pied, maintenant advenu une star ou un icône international sur une relève du ring musical, et interlope, ainsi que marginal. Son passé l’attrape comme un tue mouche à merde qui lui on pourrit l’ambiance d’un concert, ou d’une relation latente qui persévère tant est si bien que l’accord en legally bender, c’est à dire verbal doit tenir de son engagement dans les funestes décennies à venir, Bruno, l’incroyable et le superstitieux!
Sa fidélité, comme ses ami(e)s, lui valent une courtoisie de roi des cartes londonien, il a évolué depuis 1999, et ses collaboratrices dans la mode et des clubs surchargés de volume musical!
Legally bender
The Rejects, et maintenant The Homosexuals traverse les chemins de traverses, et sa biographie visuelle avec ce film retraçant une partie de son existence. Bruno, non fumeur, anti-alcool, sportif à ses heures, et ayant toujours des liens avec des stars, comme Boy George et Polystyrène.
Qui squattaient entre trafic de cocaïne, et répétition et puis la découverte de Boy George sur la scène musicale internationale lui valut ou lui a valu un court séjour par la case prison, lui innocent, s’étant fait manipulé par la pègre londonienne, le bouc émissaire et bourreau des cœurs, entre autre.
Vu sa hauteur sur pied, le roi des rois, lui seul et uniquement lui peut vous permettre de voir un jour venir le quart d’heure de gloire à la Andy Warhol. Cette métamorphose entre la cloche de bois, et l’Hilton, s’ingère comme des pastilles valda. L’âpre certitude de le revoir sain et sauf m’interpelle et ce passage dans cette rue de Soho, 12b, Tottenham court street, en plein cœur de Londres, cette capitale britannique qui cultive les divergences d’opinions et d’atmosphères, avec ces Black cab, et Red buses, avec ou sans escorte.
L’intrépide et hilarant Bruno Wizard, le clown de service qui par ses faits et gestes entre deux films de bande annonce, nous suggère de visionner ou d’acheter sur Netflix ses records télévisuels, et cinématographiques. La parodie d’un illustre personnage, qui marque ses points sur mesure, comme un tireur d’élite, pourtant Bruno Wizard est un pacifique, il accompagne sa famille dans son antre ou autre monde, celui de la démesure.
L’introspection de l’artiste Bruno Aleph Wizard?
L’alchimie burlesque d’un poète anglo-saxon qui restera seulement lui-même de parts et d’autres!
Sa nonchalance s’introduisant dans un cartel séduisant qui pullule autour de sa réputation, une forme de légèreté de l’être ou L’insoutenable légèreté de l’être, ou Le livre du rire et de l’oubli ou bien La plaisanterie, comme dans un roman de Milan Kundera, sa postérité n’a plus sa raison d’érudit.
Fîllînne Grandhomme
Comme une pyramide du Louvre, où on peut déjà visiter les plus grands peintres dans leur monde, quand on repense à Fîllînne Grandhomme (artiste-peintre) dégénérant dans un volume inconciliable avec un monde parfait.
Ceci étant dit, nous pourvoyons en toute raison apparentée.
La raison de ce récit est d’être une invitation à la découverte d’artistes et du public, pour ainsi dire, cela est déjà fait, avec joie et bonheur.