Siouxsie and the Banshees, cette forme olympique de la cavalerie musicale, tout comme Arabian Knights, ou Israël, donne le ton symphonique de son orchestre manœuvrant in the dark, l’ambiance plutôt folichonne ! Et en surplombant la planète depuis « The Creature », l’éternel un aspect creusant la volcanique voix de cette chanteuse lyrique, et de son état civil Susan Janet Ballion, née le 27 mai 1957, à Southwark, persévère en solo depuis 2004, cette chanteuse-interprète-productrice ! Ce groupe londonien de rock gothique, et cette étincelante splendeur de la suprématie de genre musical anglais, performe tous azimuts sur la scène mondiale des groupes de rock alternatif, l’apostrophe n’existe plus pour Siouxsie Sioux et les Banshees, cela galvanise le public, ainsi c’est faire de la musique virulente avec leurs morceaux de composition musicale.

Enfer et damnation de l’artiste

L’ardente et flamboyante atmosphère des clips et vidéos enregistrés, et filmés, lors d’état major dans un style calculé de leur cachet à chaque représentation sonore et visuelle ! Ce continuum d’attraction versant dans la plénitude retrouvée, pendant le déroulement de leurs spectacles.

France, Allemagne, pour ne citer que ces deux pays, représentent déjà la moitié de leur audience, la chanteuse anglaise a les paroles et l’écriture des morceaux appropriés et destinés à cet audimat. L’imperfection n’existe pas, ou n’existe plus !

Pour revenir au tremplin musical londonien, il y eut une scène éphémère dans les années 1996 à Brewer Street, au club Madame Jojo, cette embardée s’intitulant pour Warner company « Romo » the romantic-modernist, ainsi vit le jour Orlando, Miami, Persecution Complex, et puis se jouaient à Skinny Club et au Camden Palace, des groupes illicites dans leurs tenues de représentation d’un style effarouchant, et distinct !

Passionnés de rock gothique, et alternatif, ainsi que punk et post-punk en France, nous y trouvons dans la fin du siècle dernier, pour ne dire Tomber du ciel de Jacques Higelin ! Bérurier Noir, Garçons Bouchers, Pigalle, Oberkampf, Camera Silens avec Gilles Bertin (RIP) ! Cette farce et attrape (sida) ! Rayonnante dans les coulisses de concerts, arbitrés par le public venu en émoi, voir et ressentir le zef industriel de la musique à tendance révolutionnaire, tous enclins et prédestinés à cette réverbérance comme les lumières d’un stade où se déroule un concert de Mylène Farmer, cette démultiplication de groupes de musique, soient français, anglais, ou tour à tour européanisés dans l’extravagance de leurs lubies (voir The Cure) avec Robert Smith !

Prolétaire de Renaud également.

Ceux-ci cités dans l’article tapent dans la fine dentelle décadente de notre système pro-européen, l’instinct de survie et le passage à l’acte d’une frontière à l’autre, sachant bien qu’avant de naviguer sur le net, il y a eu des mots par pendaisons, et des têtes brûlées de la musique revenant bredouille d’un concert bien orchestré, cela s’appelait de la dépouille !

Venez, jeunes gens, les visites sont terminées, au terminal de l’aéroport destination plus ou moins connue, mais la découverte sert la luxure des aéronefs. Londres, Paris, Berlin, Munich, Francfort, ou des lieux ouverts comme Glastonbury, pour ne mentionner que ces villes !

Les stars du show-biz, et leurs maisons de disques, en rivalité avec le public, l’inclinaison à la subjectivité de parole blasphème l’art et la manière de jouer d’un instrument de musique.

La facilité démocratique de s’exprimer et l’anarchie prônant au-dessus d’un chaos, illustré dans les magazines, comme Best, Rock’n Folk, et d’autres encore.

La conjoncture et la liberté de s’exprimer à tordre les boyaux, vaincue souvent par la prise de conscience d’un état secondaire et impérialiste sachant mentir sur des contrats souvent hallucinants !