Depuis des temps immémoriaux, l'eau a toujours eu une signification symbolique et spirituelle dans de nombreuses cultures anciennes. En effet, elle a été associée à la purification, à la fertilité, à la renaissance, mais aussi à des rituels religieux. Des temples, des sanctuaires ont été érigés à proximité de sources d'eau importantes. Par exemple, le temple d’Artémis à Éphèse a été construit directement sur une source d’eau. En géobiologie, il est reconnu que plusieurs croisements de cours d’eau s’entrecroisent sous les monuments mégalithes, mais également en dessous des cathédrales. Dans cette discipline, l'eau souterraine, les cours d'eau et les sources peuvent avoir des effets sur les êtres vivants, y compris les humains. En effet, certains géobiologues pensent que la qualité de l'eau, sa pureté, son mouvement et son énergie peuvent jouer un rôle sur la santé des habitants d'un lieu. Mais, au-delà de ses capacités communément admises, l’eau pourrait bien posséder une mémoire !
Le sujet de la mémoire de l'eau a suscité, et suscite encore aujourd’hui, de nombreuses polémiques. Tout comme le magnétisme et toutes les autres capacités invisibles, les propriétés de l’eau sont relayées au banc des médecines parallèles ! C’est le chercheur français Jacques Benveniste dans les années 1980 et d’autres par la suite qui sont arrivés aux mêmes affirmations : l'eau serait capable de conserver une empreinte des substances avec lesquelles elle a été en contact. Concrètement, cette thèse repose sur l'idée que l'eau possède une capacité de stockage de l'information. Masaru Emoto, est un chercheur japonais, connu pour ses travaux sur la mémoire de l'eau. Il prétendait que les molécules d'eau réagissent aux influences extérieures, comme les mots, les pensées et les émotions humaines. Selon lui, ces dernières peuvent conserver une "mémoire" de ces influences. Il a mené des expériences dans lesquelles il exposait de l'eau à différentes sources d'information, telles que des mots positifs ou négatifs écrits sur des étiquettes, de la musique ou des prières, puis il gelait l'eau et observait les cristaux formés. Ainsi, il a remarqué que des influences positives produisaient des cristaux de glace symétriques et beaux. À l’inverse, l'eau, exposée à des influences négatives, formait des cristaux déformés et laids.
Beaucoup plus récemment, le Dr Luc Montagnier, lauréat du prix Nobel de médecine en 2008 pour sa découverte du virus du VIH, a également exprimé des opinions sur la mémoire de l'eau. Le docteur Montagnier a suggéré que l'ADN dans l'eau pourrait émettre des signaux électromagnétiques. Ceux-ci pourraient être enregistrés et transmis à d'autres molécules d'ADN, même après une dilution importante. Alors que la crise de la COVID-19 faisait rage, les prises de paroles du chercheur ont fortement marqué les médias et l’ont conduit à la censure. Prix Nobel et chercheur émérite un jour, et oublié à la fin de sa vie ? Pour autant, il n’a jamais cessé d’affirmer et de prouver ses théories, dans des colloques, mais à l’étranger !
Il est intéressant de noter que les cristaux de quartz et l'eau présentent quelques similitudes, notamment du point de vue de leur structure et de leurs propriétés physiques. Les deux ont une structure cristalline. En effet, l'eau, peut être formée des structures ordonnées à l'échelle microscopique et spécifiquement les cristaux de glace. Les cristaux de quartz et l'eau peuvent tous deux être transparents ou translucides, permettant le passage de la lumière à travers eux. Enfin, le quartz est considéré comme ayant des propriétés énergétiques et peut être utilisé dans des pratiques de guérison et de méditation. De même, l'eau est souvent associée à des propriétés énergétiques et peut être utilisée dans des pratiques de purification ou de revitalisation. D’ailleurs, lorsque j’ai réalisé mes formations reiki, une technique de soin à distance consistait à programmer et remplir d’énergie des cristaux de roches.
M’intéressant au côté scientifique de la chose, je suis tombé sur les travaux de Marc Vogel. Marcel Vogel, qui était un scientifique et inventeur américain. Il s'est intéressé spécifiquement aux propriétés du cristal de quartz. Il a proposé l'idée que les cristaux de quartz pouvaient enregistrer et conserver une "mémoire" des informations qui leur étaient transmises. Selon Monsieur Vogel, les cristaux de quartz auraient la capacité de stocker des informations et d'interagir avec leur environnement, tout comme l’eau ! D’ailleurs, lorsque que je regardais récemment un reportage archéologique, une technique de datation a quelque peu attiré mon attention : La luminescence optiquement stimulée (LOS). Cette dernière consiste à déterminer quand un quartz a pour la dernière fois été en contact avec une source de lumière... Cette technique confirme à l’évidence, que le quartz enregistre bel et bien cette information ; en tout cas, suffisamment précisément pour servir de moyen principal de datation à des archéologues professionnels !
Si toutes ces théories ont malgré tout été relayées au banc des essais non concluant, c’est que la sectorisation des sciences enferme chaque spécialité, la privant d’un recul nécessaire et donc d’une vision d’ensemble. En effet, au niveau quantique, il est plus que probable que l'eau et le quartz aient des applications communes en termes de potentialité à stocker de l'énergie et donc des informations. En effet, et comme l’a prouvé Einstein : « Tout est énergie ! »
Car si la capacité de l'eau à stocker de l'énergie au niveau quantique est limitée, elle est toutefois belle et bien avérée. Quant au quartz, il possède, en revanche, des propriétés électriques spécifiques liées à sa structure cristalline. Il présente ce qu'on appelle l'effet piézoélectrique qui est exploité dans diverses applications technologiques, tels que les dispositifs utilisés dans les capteurs, les transducteurs, les oscillateurs et les dispositifs d'échographie. Et comme démontré plus haut, il possède déjà bel et bien la capacité de stocker une mémoire de la lumière qui a été en contact avec lui.
Pourtant, les avancées faites par ces trois pionniers restent sans suite réelle et sont cataloguées dans les médecines parallèles au même titre que la lithothérapie, par exemple, et qui n’ont pas bonne presse chez les médecins et chercheurs spécialisés. J’en veux pour preuve le tumulte des naturopathes sur la plateforme Doctolib. Quand on sait que ces thèses viennent également renforcer celle de l’homéopathie, on comprend pourquoi cette approche ne plait pas…
L’eau a toujours été au centre des villes et temples anciens. D’une part à cause de son évidente et incontournable utilité, mais également dans le cadre religieux et cultuel. Quant aux cristaux, dont le quartz, ils sont utilisés depuis la nuit des temps en magie et en ésotérisme. Encore une fois, deux mondes s’affrontent : Les anciennes cultures et leurs savoirs instinctifs, leurs médecines naturelles qui ont néanmoins fait leur preuve et la science moderne ! Alors même que toutes les explications quantiques tendent vers un monde de vibration énergétique plus ou moins denses, dès lors que les explications et les preuves tardent à arriver, ces solutions sont marquées du sceau d’un ésotérisme dangereux. Toutefois, ne serait-ce pas, encore une fois, le fait d’analyser un domaine en l’isolant, qui rétrécit non seulement le champ de vision des scientifiques, mais aussi leurs analyses ?
Et ce n’est pas non plus un hasard si cette thèse de la mémoire de l’eau prospère au sein des pratiquants des spécialités énergétiques, tel que le magnétisme, le reiki ou encore le chamanisme par exemple. En réalité, ces pratiquants ont déjà admis que cette invisible énergie existe et que celle-ci est mue par l’intention et donc par l’information. Car accepter la mémoire de l’eau, reviendrait à admettre également la réalité d’un autre monde, invisible et au-delà des normes matérielles qui définissent notre monde moderne. Ainsi, cette brèche expliquerait immédiatement les effets observés dans certaines pratiques alternatives, telles que l'homéopathie, la lithothérapie, mais aussi le magnétisme, le chamanisme, etc. Allant peut-être même à rapprocher suffisamment la science et l’ésotérisme pour les alchimiser et non les séparer tels deux aimants d’une même face.
Tout est déjà dans la nature, car tout dans la nature contribue à la vie et sa continuité.